En fin de compte, l’apparence du produit fini dépendra de la façon dont la fermeture éclair est cousue. Il est important de comprendre le principe et la séquence des opérations et de les suivre clairement, vous êtes alors assuré d’un résultat parfait.

Achetez la bonne longueur de fermeture éclair

Si les instructions indiquent, par exemple, que votre fermeture à glissière mesure 20 cm de long, il vaut mieux acheter une fermeture à glissière de 22 cm. Cela facilitera l’insertion de la fermeture à glissière dans les endroits où les dents de la fermeture sont fixes et où il y a un petit joint qui empêche de coudre uniformément. Un supplément de 2 cm permettra d’éviter cette mésaventure. Coupez les queues de fermeture qui dépassent.

Si vous ne trouvez pas de fermeture éclair de la bonne taille dans le magasin, n’hésitez pas à en prendre une plus longue. Vous pouvez toujours le raccourcir à la longueur dont vous avez besoin.

Balisage

Précisez vos repères – utilisez un marqueur soluble dans l’eau et une règle pour tracer des lignes dans les zones où le point droit sera cousu. Cela vous permettra de coudre une fermeture à glissière ordinaire ou cachée exactement du premier coup.

Dois-je virer ou non ?

Il est préférable de fixer la fermeture à glissière au vêtement, surtout si vous commencez à apprendre les bases de la couture et à coudre une fermeture à glissière pour la première fois. De même, pendant l’essayage, vous ne pouvez pas vous passer de l’étiquetage.

Une fermeture à glissière dissimulée

Habituellement, un bandeau est d’abord cousu dans un vêtement, puis la couture est réalisée pour empêcher les parties de se séparer.

Disposez les motifs à plat. En fonction des repères, épinglez ou bâtissez la fermeture à glissière et cousez. Ce n’est qu’ensuite que vous coudrez la couture. C’est beaucoup plus pratique que l’inverse. Les instructions du patron Burda suggèrent cette séquence exacte pour coudre une fermeture éclair cachée.

Le carnet d’une aiguilleuse

Une chose très utile. Fixer dans un cahier de couture toutes les erreurs de couture et les moyens de les résoudre.

Notez les options qui ont fait leurs preuves, en expliquant ce qui fonctionne le mieux et ce qui ne fonctionne pas, ce qui ne doit pas être utilisé.

Ou bien commencez un carnet électronique et enregistrez des liens vers des cours de maître sur la pose de fermetures à glissière, que vous comprenez et avec lesquels vous êtes à l’aise.

Lorsque vous maîtrisez quelque chose de nouveau, ne négligez pas les instructions et affinez vos compétences avec des échantillons, afin de ne pas commettre la moindre erreur dans le produit fini !

Laissez le processus de couture vous apporter de la joie !

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J’espère que les conseils ci-dessous concernant l’ajustement des boutons, blocs et boutons de denim vous seront utiles. Le plus simple est d’installer des boutons en quatre parties qui se ferment avec un anneau placé en haut du bouton.

Si vous avez quand même décidé de ne pas confier le travail au maître et de poser vous-même les boutons, nous allons trouver une solution ensemble.

La première étape consiste à créer un trou à perforer. Pour ce faire, vous aurez besoin d’un marteau, d’une enclume, d’un poinçon et d’une alène. Le perforateur vous permettra de faire un trou régulier, évitant ainsi que les bords ne s’effritent. Il n’est pas souhaitable de découper le trou pour le bouton à la main avec des ciseaux, car tôt ou tard, le bouton ou le bloc en sortira. Le trou doit également être aussi petit que possible pour que le bouton ou la garniture s’adapte parfaitement. De cette façon, le bouton sera mieux fixé. Si le tissu est lâche, pré-collez l’endroit sous le bouton avec du tissu adhésif.

Procédure

Alors, comment installer les boutons avec vos propres mains.

Pour l’installation, on utilise des pinces. Mais il s’agit d’un outil coûteux et très particulier, c’est pourquoi pour les conditions domestiques, un tel perforateur qui fend une jambe de la chaîne de blocs sera approprié. On commence par percer un trou avec le poinçon sur l’enclume, puis on perce la jambe du bloc et on pose un anneau dessus. Nous fendons le pied avec l’enclume et les pétales eux-mêmes se plient dans le bon sens. Ensuite, vous devez les fixer avec un petit marteau. Mais il n’est pas nécessaire de frapper fort, il est possible d’abîmer à la fois un tissu et un bouton.

Posez l’anneau avec le côté convexe à l’opposé de vous, c’est-à-dire qu’il doit répéter la forme convexe du bord du bloc.

En utilisant le même outil que pour le blocky, il est facile d' »aplatir » la patte du bouton en pétales, en haut et en bas. Cependant, pour ce type de bouton, des poinçons spéciaux sont souvent fournis avec. Mais la pratique nous apprend qu’il est inefficace de les utiliser. Il est beaucoup plus pratique et plus facile d’utiliser un poinçon qui « divise » la tige en pétales.

Si, pour une raison quelconque, le bouton n’est pas correctement installé, retirez-le et mettez-en un autre, un nouveau. Il est préférable de ne pas réutiliser un bouton abîmé, car il ne tiendra plus en place. Ils sont peu coûteux, alors achetez-les en stock.

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Il est d’usage d’utiliser la diagonale pour déterminer la taille des produits carrés. Lorsque vous travaillez avec des produits de forme non standard, leur taille est déterminée par le côté le plus grand.

Les types les plus populaires sont ceux à deux et quatre fentes. Il existe également des modèles à pattes.

Conseils généraux

Vos boutons doivent être assortis à votre vêtement, tant en termes de couleur que de taille. Pour vérifier que votre bouton s’adapte à votre vêtement, faites-le glisser dans la boutonnière du vêtement. Il doit entrer suffisamment près pour ne pas se déboutonner lorsque vous bougez, sans être trop serré – sinon il y a un risque de déchirer le tissu du produit.

Avant que le travail ne soit sélectionné et les « bons » fils. Leurs principales propriétés – la résistance. C’est-à-dire qu’ils ne doivent pas se déchirer facilement à la main. Leur densité correspond à la taille du fermoir et de ses trous, ainsi qu’à l’épaisseur du matériau. Les experts recommandent d’utiliser des fils solides et renforcés pour coudre les fermetures des manteaux, des vestes et des manteaux de fourrure.

L’idéal est que le bouton et le fil soient de teinte identique. L’obligation de cet élément dépend du type de bouton. S’il est plat, la couleur est choisie en fonction du bouton. Si le produit a un pied, il est conseillé de prendre des fils dans un ton proche de celui du tissu – ils seront ainsi presque invisibles.

Le travail est plus commode si la longueur du fil ne dépasse pas 30 cm. Si le fil est plus court, il ne sera pas suffisant pour terminer le travail. S’il est plus long, le fil s’emmêlera et formera des nœuds.

Lorsqu’il s’agit de boutons avec des trous – surtout s’ils sont grands – il est recommandé de faire un double fil. Dans le même temps, il est nécessaire de veiller à ce qu’ils ne s’entremêlent pas. Cela aura un effet négatif sur l’aspect général du produit fini. L’utilisation d’un seul pli se justifie lorsqu’on travaille avec de petits boutons.

En choisissant la méthode du double pliage, il n’est pas nécessaire de faire beaucoup de perçages. Un fil double et un petit nombre de points fourniront une force de couture suffisante. Ce n’est qu’en utilisant un seul pli qu’il faudra percer davantage le tissu.

Lorsque vous cousez des boutons avec des trous, il est important de se rappeler que le sens du fil doit être parallèle à la boutonnière.

Avant de commencer le travail, le lieu de fixation est marqué sur la face avant du produit. Le plus pratique est de le faire avec un morceau de savon.

Pour chaque type et chaque type de bouton, il existe une manière différente et pratique de coudre.

Comment coudre un bouton à deux trous ?

• On fait un point de blocage sur l’envers du tissu pour que le nœud reste sur l’envers.
• Amenez ensuite l’aiguille sur l’envers du tissu, placez le bouton dans la zone de couture et enfilez l’aiguille dans l’un des trous.
• Plusieurs points sont réalisés, en cousant entre les trous. Il est souhaitable de frapper dans les mêmes trous, afin que le bouton cousu du mauvais côté ait un aspect esthétique.
• Pour terminer le travail, vous devez prendre l’aiguille avec le fil entre le bouton et le matériau et, en capturant le fil, faire quelques nœuds. Vous devriez obtenir une sorte de « pied », qui facilitera le boutonnage. Ramenez ensuite le fil vers l’intérieur, fixez-le et coupez l’excédent.

Comment coudre un bouton à quatre trous

• Cousez un point d’arrêt sur l’intérieur de la pièce.
• Fixez ensuite le bouton dans la zone de couture et enfilez l’aiguille à l’avant par l’une des fentes. Pour des raisons de commodité, les trous sont divisés en paires, et chaque paire est cousue plusieurs fois.
• Pour terminer, on fait sortir le fil entre le bouton et le tissu sur l’avant. J’ai fait quelques noeuds autour. Ensuite, le fil est mené à l’envers, fixé et coupé.
• Une autre option pour coudre un bouton de ce type est la diagonale. À cette fin, les trous sont divisés non pas par paires, mais en diagonale. Les points de suture eux-mêmes sont réalisés de manière similaire à la méthode décrite.

Comment coudre une boutonnière

• En cousant un tel bouton, le nœud doit être laissé sur le devant, sous le chapeau.
• Ensuite, on effectue plusieurs perçages, et il est souhaitable de frapper les mêmes points. Ensuite, le fil est passé entre le tissu et le bouton et fixé par un nœud. Il est important de ne pas oublier de fixer exactement sur le fil, et non sur le matériau.

Travailler avec des vêtements d’extérieur

Sur les produits fabriqués en tissu dense, pour augmenter la résistance, deux boutons sont utilisés en même temps – à l’avant et à l’arrière.

• Faites un noeud.
• Passez le fil à travers le bouton sur le côté arrière du vêtement. En l’amenant sur le devant, l’aiguille est enfoncée dans le deuxième bouton. Sous celle-ci est placée une allumette. Ceci est nécessaire pour créer un « pied », qui réduira ensuite la pression sur le tissu et facilitera le boutonnage.
• Ensuite, les deux boutons sont cousus simultanément avec plusieurs points. Il est important de frapper les mêmes perforations.
• À la toute fin, le fil est amené au « visage », tiré de quelques tours, fixant la « jambe » prévue. Le match est supprimé. Ensuite, quelques nœuds sont faits et le fil est coupé.

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Types de matériaux textiles

Avant de comprendre comment déterminer la proportion d’un tissu ou d’une étoffe, vous devez comprendre les types de matériaux. Ils sont divisés en trois grandes catégories.

• Le tissu est un matériau présentant une structure en treillis organisée – le tissage. Produit sur des métiers à tisser.
• Tricots – tissus à mailles de différentes configurations de tissage. La structure élastique des tissus tricotés est une combinaison de boucles disposées en rangées et en colonnes.
• Matériaux non tissés – une variété de matériaux technologiques, généralement constitués de fibres synthétiques et sans structure directionnelle. Ce groupe comprend la toison et le sintepon.

Structure du tissu

Un tissu est un treillis, c’est-à-dire un croisement perpendiculaire de deux systèmes de fils.

Le fil qui court dans le sens du métier à tisser est la base du tissu. Comme elle s’étend sur toute la longueur, on l’appelle autrement le grain. Le long du bord du tissu, la densité du tissage est augmentée, formant un bord solide, qui ne s’effiloche pas – la lisière.

La trame est perpendiculaire à la chaîne. L’intersection de la chaîne et de la trame constitue donc la structure de base du tissu.

Déterminer le grain du fil

En partant du principe que le grain est le fil le moins extensible du tissu, il est facile de déterminer le sens sur n’importe quelle pièce de tissu. La première chose à faire est de s’assurer qu’il ne s’agit pas d’un tissu tricoté ou non tissé. Pour ce faire, vous devez voir la structure du tissage sous forme de treillis. Certains tissages ont une structure diagonale ou à double couche. Plus important encore, le tissu présente une orientation des fils selon un angle clair : 30, 45, 60 ou 90 degrés. Les tricots ont une structure bouclée, tandis que les non-tissés n’en ont pas du tout.

• Si le tissu a une lisière préservée, c’est la première aide pour déterminer le grain. Le fonctionnement du métier à tisser est toujours parallèle à ce bord étroit.
• Pour trouver le grain du tissu, il suffit de tirer le tissu dans toutes les directions – droites et diagonales. La direction la plus stable est celle des fils de chaîne. Il est nécessaire d’étirer le tissu pour trouver la direction principale lorsqu’on modifie des motifs existants.
• Dans les armures sergé et satin, la couture va de bas en haut et de gauche à droite.
• Il est parfois nécessaire de trouver l’emplacement du grain du fil dans un tricot ou une dentelle, ce qui, par le biais de la production, fait référence au groupe de tricotage. L’orientation de la base de tricotage d’un tel tissu est déterminée de la même manière : faites attention au motif de l’armure, sur les boucles de bord, déterminez la direction de l’étirement minimum.

• Si le matériau présente une texture bouclée, un molleton, un duvet, il est disposé le long de la lisière et dans le sens de la vallée.
• Lorsqu’on les regarde à la lumière, les fils principaux sont plus stables et orientés.
• Les tissus mélangés contiennent les fibres les plus précieuses dans la trame – par exemple, la laine et la soie mélangées au coton ou au synthétique.

Formation du tissu

Il est important de comprendre la terminologie textile, de reconnaître les types de tissus et de savoir comment déterminer le sens du grain. C’est la chaîne, ou le fil de trame, qui est la direction la plus stable et la moins extensible du tissu. Lors de la coupe d’un vêtement, deux facteurs sont fondamentaux et déterminants : le recto du tissu et le placement de la chaîne et de la trame.

Les motifs, ou pièces, sont placés sur l’envers du tissu, dans l’axe du grain. En général, la coupe de haut en bas sur la longueur des motifs coïncide avec le sens du fil de chaîne. Si le placement correct n’est pas pris en compte, les motifs de coupe seront déformés et s’étireront. Cela s’explique par le fait que le tissu rétrécit lorsqu’il est mouillé et qu’il est porté plus en longueur qu’en largeur. Le rétrécissement, quant à lui, dépend de la tension des fils dans le métier à tisser.

Le principe de la coupe oblique, par exemple, est basé sur cette caractéristique de déformation. En coupant les parties à un angle de 45 degrés, on obtient de beaux volants de manches ou des franges de longues jupes luxueuses.

Le tissu coupé selon l’oblique s’étire sous la force naturelle de la gravité plus que la base et la trame. Nécessite un ajustement ultérieur de la longueur du produit fini.

Pour réaliser correctement les idées du designer, de nombreux facteurs doivent être pris en considération : la silhouette, les lignes de construction, le type de tissu et le sens de la largeur du grain lors de la coupe. Le placement correct des détails et de nombreuses autres subtilités techniques permettent de concrétiser la vision du tailleur en créant le bon vêtement.

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